Alexander McQueen et les circonstances de sa mort!
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On en sait désormais un peu plus sur les circonstances du décès du couturier, Alexander McQueen, retrouvé mort à son domicile londonien le 11 janvier dernier.
Le couturier qui avait mis fin à ses jours par pendaison était, selon l’examen toxicologique, sous l’emprise de la drogue, plus précisément de cocaïne et de comprimés pour traiter ses troubles du sommeil (tranquillisants et somnifères), au moment des faits.
Les enquêteurs révèlent que ce denier avait laissé un mot très bref dans lequel il s’excusait pour son suicide, « Je suis désolé… s’il vous plaît, veillez sur mes chiens. Désolé… Je vous aime… Lee. », aurait-il écrit à ses proches. Le styliste aurait parfaitement orchestré son suicide en se renseignant auparavant sur les moyens de mettre fin à ses jours de façon certaine.
Le couturier souffrait de dépression et d’un mal-être chronique, selon le psychiatre Dr Stephen Pereira qui le suivait, ce dernier avait déjà tenté de se suicider à deux reprises, à peu de temps d’intervalle au cours de l’année 2009, une première tentative avortée en mai puis une seconde en juillet. Agé de 40 ans au moment où il s’est donné la mort, Alexander McQueen avait un lourd passif psychologique, il souffrait d’insomnie, de troubles de l’humeur et de troubles du comportement pratiquant même l’auto-mutilation.
De nombreuses coupures sur ses poignets ont été révélées dans le rapport d’autopsie, enfin des couteaux tâchés de sang ont été retrouvés à son domicile. Le couturier avait été très affecté par le décès de sa mère, Joyce, quelques jours auparavant ainsi que par le décès de sa très bonne amie, Isabella Blow, survenu 3 ans plus tôt et dont il ne s’était jamais remis.
Le juge londonien Paul Knapman, qui est en charge de l’enquête judiciaire, a mentionné que le styliste avait mis fin à ses jours « à un moment où son équilibre mental était perturbé ». Le styliste a été retrouvé sans vie, pendu dans une armoire de son appartement de Mayfair, dans le centre de Londres, un jour avant les obsèques de sa mère dont la mort (le 2 février 2010) l’avait totalement anéantie.
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On en sait désormais un peu plus sur les circonstances du décès du couturier, Alexander McQueen, retrouvé mort à son domicile londonien le 11 janvier dernier.
Le couturier qui avait mis fin à ses jours par pendaison était, selon l’examen toxicologique, sous l’emprise de la drogue, plus précisément de cocaïne et de comprimés pour traiter ses troubles du sommeil (tranquillisants et somnifères), au moment des faits.
Les enquêteurs révèlent que ce denier avait laissé un mot très bref dans lequel il s’excusait pour son suicide, « Je suis désolé… s’il vous plaît, veillez sur mes chiens. Désolé… Je vous aime… Lee. », aurait-il écrit à ses proches. Le styliste aurait parfaitement orchestré son suicide en se renseignant auparavant sur les moyens de mettre fin à ses jours de façon certaine.
Le couturier souffrait de dépression et d’un mal-être chronique, selon le psychiatre Dr Stephen Pereira qui le suivait, ce dernier avait déjà tenté de se suicider à deux reprises, à peu de temps d’intervalle au cours de l’année 2009, une première tentative avortée en mai puis une seconde en juillet. Agé de 40 ans au moment où il s’est donné la mort, Alexander McQueen avait un lourd passif psychologique, il souffrait d’insomnie, de troubles de l’humeur et de troubles du comportement pratiquant même l’auto-mutilation.
De nombreuses coupures sur ses poignets ont été révélées dans le rapport d’autopsie, enfin des couteaux tâchés de sang ont été retrouvés à son domicile. Le couturier avait été très affecté par le décès de sa mère, Joyce, quelques jours auparavant ainsi que par le décès de sa très bonne amie, Isabella Blow, survenu 3 ans plus tôt et dont il ne s’était jamais remis.
Le juge londonien Paul Knapman, qui est en charge de l’enquête judiciaire, a mentionné que le styliste avait mis fin à ses jours « à un moment où son équilibre mental était perturbé ». Le styliste a été retrouvé sans vie, pendu dans une armoire de son appartement de Mayfair, dans le centre de Londres, un jour avant les obsèques de sa mère dont la mort (le 2 février 2010) l’avait totalement anéantie.
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Mort
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